Solidarités Nouvelles pour le Logement

Groupe local de Massy et Verrières

Ensemble, agissons pour le logement
Accompagner

Prise en charge des familles :

Lorsque qu'une famille entre dans un logement SNL elle va être accompagnée (dans notre Groupe Local de Solidarité "GLS" )

Par deux bénévoles en principe un homme et une femme et par le Travailleur Social "TS". Bénévoles et TS ont deux fonctions différentes mais complémentaires.

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Les bénévoles font ce qu'on appelle l'accompagnement de proximité.

Il y a le plus souvent une première rencontre avant l'entrée dans les lieux pour voir quels sont les besoins immédiats pour l'installation dans le logement. Ensuite c'est une relation de confiance qui va s'installer au fil du temps,il ne faut pas vouloir brûler les étapes. Accompagner c'est être à côté de la personne en difficulté, aller à son rythme. C'est aussi une relation d'échange il faut aussi savoir recevoir. En principe nous voyons la famille au moins une fois par mois pour percevoir le loyer , mais chaque accompagnement est un parcours différent.la règle de base étant de ne pas s'imposer. Et de ne pas oublier que "le relogement c'est le but qu'on se donne ensemble au départ".

Le Travailleur Social à une relation différente avec la famille avec laquelle il établit un projet des l'entrée et il fait aussi le suivi de la gestion financière et éventuellement des problèmes de santé.

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Les bénévoles ont la possibilité de suivre différentes formations proposées par le siège de l’association , quelques exemples : Différences culturelles mode d'emploi - Quelle attitude adopter devant les conduites addictives - Quelle présence quelle écoute au delà de l'aide concrète et matérielle

Les échanges à l'intérieur du GLS sont aussi très importants pour nous aider à analyser nos comportements et aussi à nous soutenir dans les accompagnements quelquefois plus difficiles ou l'on peut se sentir en situation d'échec.

Accompagner c'est faire l'expérience de nos propres limites, mais c'est toujours l'expérience de la rencontre.

>Marie-France Delouis, mai 2015